Musée – 1987

Ordileers

Les stages du club évoluent. Les tarifs des stages augmentent : L’initiation Basic passe à 300 Francs pour un stage de 10 séances de 2 heures. Le perfectionnement passe à 350 Francs pour la même durée. Un stage Bureautique fait son apparition, sur le logiciel AppleWorks sous Apple IIc. Ce stage d’une durée de 8 séances de 2 heures est proposé au tarif de 450 Francs.

La grille des tarifs du club évolue également. On parle désormais d’adhésions “avec revenu” à 100 Francs, “sans revenu” à 50 Francs et “Jeune” à 30 Francs (pour le GIC Jeunes du mercredi Après-midi).

Début 1987, le club achète sa première machine 16 bits : Un Atari 520 ST pour 3.700 Francs. La même année, un moniteur monochrome Haute Résolution pour Atari et une extension mémoire montant la machine à 1 Mo de RAM sont achetés. Le club achète également un moniteur couleur pour le commodore 128D (qui avait auparavant un moniteur monochrome).

Matériel

Apple Macintosh II

Le Macintosh II est une évolution du Macintosh. Il est équipé en interne du processeur Motorola 68020 cadencé à 16Mhz. Le Macintosh II dispose de la possibilité de bancher des cartes d’extension (comme sur PC), support les écrans couleurs, et un disque dur interne.

Apple Macintosh SE

En même temps que le Macintosh II, Apple sort le Macintosh SE. Il s’agit d’une version du Macintosh « compact » équipé en interne d’un disque dur de 20 Mo.

Janvier 1987 : Commodore Amiga 500

Il s’agit d’une version grand public de l’Amiga 1000, designé principalement pour concurrencer l’Atari 520ST.

L’Amiga 500 était basé sur un processeur Motorola 68000 à 7,15 Mhz, et équipé de 512ko de RAM. Il était équipé en interne d’un lecteur de disquettes 3 pouces ½ (880 ko), et d’une souris.

L’Amiga 500 était capable d’afficher des résolutions de 320×256 en 32 couleurs parmi 4096, 640×256 en 16 couleurs parmi 4096 et 640×512 en 16 couleurs (entrelacé). Il était capable d’afficher jusqu’à 4094 couleurs simultanément en mode 320×256 pixels, avec des contraintes de proximité (mode HAM). Son processeur graphique était capable de générer facilement des animations (scrollings) grâce à une puce spécialisée. Il disposait également d’un chipset sonore très performant sur 4 voies. L’Amiga 500 était fourni avec le système d’exploitation Amiga OS (1.2 puis 1.3). Contrairement à ses principaux concurrents, le système d’exploitation est chargeable depuis disquettes (il n’est pas en ROM). Il était également fourni avec Amiga BASIC comme langage de programmation.

L’Amiga 500 disposait d’une trappe de connexion permettant d’ajouter une extension mémoire (512 Ko de mémoire), ou un disque dur externe.

Commodore Amiga 2000

L’Amiga 2000 est la version professionnelle de l’Amiga 500. Il disposait des mêmes caractéristiques que l’Amiga 500, mais dans un boîtier externe. Le boîtier externe dispose également de 4 connecteurs au format ISA.